LOUISE, princesse d'Orléans, infante d'Espagne (1882-1958)

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LOUISE, princesse d'Orléans, infante d'Espagne (1882-1958)
Ensemble de 16 L.A.S. et C.A.S. : «Louise», adressées à la comtesse Xavier Villeneuve-Bargemont, née Yvonne Laffleur de Kermaingant (1873-1967), dame d'honneur de la duchesse de Guise, datant de 1907 à 1935, formats divers, certaines sont sur papier à en-tête aux armes de France, à son monogramme et du château de Bellevue. On y joint 5 L.A.S. : «Louise» adressées au comte Jean Laffleur de Kermaingant (1879-1966), datant de 1905 à 1917. Texte en français, 46 pages. Texte : - 21 mai 1915 : «(...), ai-je besoin de vous dire à quel point mon cœur de Française a été ému par la réception que nous ont faites nos belles troupes africaines venues amicalement nous salué sur le bord du... Le souvenir est ineffaçable. Dernièrement j'ai vu que votre frère Jean avait été cité à l'ordre du jour, je m'en suis bien rejoint pour vous et vos chers parents (...) Votre lettre m'a trouvé à Villamanriqué ou j'avais été passé 10 jours auprès de ma mère, car cette terrible guerre difficulté naturelle nos réunions de famille. Grâce à Dieu elle allait bien et se dispose à rentrer sous peu à Randan pour reprendre ses occupations d'infirmière. Elle m'a chargé de vous remercier de vos bons souvenirs (...)» ?- 6 juillet 1915 : «(...) la guerre est pour nous un terrible cauchemar qui nous hante et nous poursuit nuit et jour. Dire qu'il y aura bientôt 1 an que ce fléau dure, c'est affreux. Pourvu que tous nos vœux passés pour une belle victoire soient vite exaucés ! J'espère de tout mon cœur que vous avez de bonnes nouvelles de Luis et de Jean (...)» - 18 avril 1926 : «Combien je vous suis reconnaissante de votre affectueuse sympathie dans cette grande douleur qui nous frappe. Penser que nous avons perdu ce frère si tendrement aimé sans même avoir pu le revoir ! Que de tristesses de deuils d'angoisses en peu de temps. Que de changement et bouleversement que Dieu nous donne la résignation et la consolation que lui seul peut donner (...)» - 30 avril 1934 : «Je reçois à l'instant votre bonne
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