ISABELLE, duchesse de Guise, née princesse d'Orléans (1878-1961)

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ISABELLE, duchesse de Guise, née princesse d'Orléans (1878-1961)
Ensemble de 35 L.A.S. et C.A.S. : «Isabelle», adressées au comte Jean Laffleur de Kermaingant (1888-1981), datant de 1903 à 1936, formats divers, certaines sont conservées avec leurs enveloppes et sont sur papier à en-tête orné des armes d'alliance Orléans et du château de Saint-Firmin. Texte en français. Texte : - Villamanriqué, 7 janvier 1902 : «Je vous remercie de tout cœur de vos vœux, j'ai été très touchée de voir que vous pensiez parfois à moi. Je suis heureux de penser que vous allez rejoindre mon frère, votre présence j'en suis sûre lui fera du bien. Je serais même plus contente si vous veniez avec lui en Espagne. Il y fait si beau.» - Le Nouvion, 25 octobre 1903 : «J'ai aussi beaucoup regretté de ne pas vous voir en Angleterre et ce regret a été partagé par tous. J'ai trouvé mon frère assez bien, et, surtout très heureux d'être entouré au des siens. Vous avez raison tout ce qui touche au parti me tient à cœur, et je serai très heureuse de causer avec vous. Je suppose que nous irons en décembre à Chantilly et à ce moment-là, il me sera facile de vous voir.» - Larache, 17 mai 1914 : «C'est aujourd'hui seulement que je réponds à votre lettre du 10 avril parce que ces temps-ci j'ai pas mal. Éreinté; j'ai d'abord été à Villamanriqué, puis à un retour ici j'ai été pendant plusieurs jours dans notre ferme et il m'était impossible d'écrire tranquillement comme j'arrive à le faire avec vous.» - Le Nouvion, 22 juin 13 : «C'est de tout cœur que je vous remercie de votre si aimable lettre; j'ai été on ne peut pas plus touchée que vous ayez ainsi songé à me donner des nouvelles de mon frère et je suis ravi de ce que vous me dites de la Princesse. Je suis très contente que le Duc d'Orléans ait emmené votre fils, car sa présence lui fera du bien, et si ce n'est pas trop demander je vous serais très reconnaissante de me dire de temps à autre où est La Maroussia, car on n'est guère... à bord et les nouvelles ne nous arrivent pas souvent.» - Saint-Firmin, 19 dé
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