TH YRA, duchesse de Cumberland, née princesse... - Lot 355 - Coutau-Bégarie

Lot 355
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Estimation :
1500 - 2000 EUR
TH YRA, duchesse de Cumberland, née princesse... - Lot 355 - Coutau-Bégarie
TH YRA, duchesse de Cumberland, née princesse de Danemark (1853-1933). Lot de treize L.A.S. «Thyra», adressée à sa belle-soeur Marie d'Orléans, princesse de Danemark (1865-1909), datant de 1886 à 1906, in-8, sur papier, à en-tête à son monogramme sous couronne royale, certaines lettres sont bordées de noir et conservées avec leur enveloppe, texte en français. - 1891: «Ma chère Marie, je te remercie sincèrement pour ta lettre et te prie aujourd'hui d'accepter mes meilleurs voeux et félicitations pour ton jour de naissance, je remercie le bon Dieu de t'avoir rendu la santé et un troisième fils. Tu seras bien contente à présent de te sentir bien portante enfin, sans ces atroces maux névralgiques...» - 1895:«Je suis si heureuse pour toi et cher Valdemar que le bon Dieu vous ait trouvé une petite fille cette fois, vraiment aussi tu l'avais mérité après quatre beaux garçons. Dieu soit loué que tu te sois bien portée pendant tout ce temps et que tu te sois sentie heureuse et contente, aussi la petite fille se porte si bien et deviendra avec le temps une grande artiste comme toi. Ses frères seront fiers d'avoir une petite soeur...» - 1900: «[...] Tu dois te réjouir d'aller à la rencontre du cher Valdemar qui quitte Gibraltar le 3 pour Le Havre. Dis-lui combien je suis heureuse qu'il soit si près de nous déjà au lieu d'être en Chine où l'on tue tous les malheureux Européens. My head is so awfully stupid that I am not able to write one sensible line in French and so I do it in English, perhaps in Danish...» - 1906: «Comme je suis contente pour toi que tu puisses aller en France pour quelques temps. Tu en as bien besoin. Je te remercie mille fois pour tes télégrammes, tu ne sais pas combien je me suis réjouis en recevant ces mots de ta part. Tu ne sais pas combien je pense à toi et à Valdemar. Je languis d'une manière toute autre, je ne sais pas comment le prononcer, et je sens comme si vous deux et nous, Ernest et moi, appartenions tout particulièrement ensemble en notre chag
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