MARIE-AMÉLIE, reine de Portugal, née princesse d'Orléans (1865-1951)

Lot 266
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MARIE-AMÉLIE, reine de Portugal, née princesse d'Orléans (1865-1951)
Ensemble de 116 L.A.S. et C.A.S. : «Amélie», adressées au comte Jean Laffleur de Kermaingant (1888-1981), datant de 1896 à 1944, formats divers, certaines sont conservées avec leurs enveloppes, la plupart sont sur papier à en-tête orné de son monogramme, des armes d'alliances Portugal-Orléans et de ses différentes résidences : Paço Da Pena, Paço Das Necessidades, Abercorn House, château de Randan et château de Bellevue. Texte en français. Texte : - 11 septembre 1896 : «Oui je vous ai dit que la vie est parfois difficile et même décevante. Quelle est-elle la vie qui n'a pas ses difficultés ? Il faut remercier Dieu de ce qu'elle a encore de bon et de consolant et marcher droit toujours vers le Devoir. La conscience de faire ce qu'on peut donner une satisfaction inexprimable.» - Lisbonne, 5 mars 97 : «La mort de ma chère Grand-Mère est un grand chagrin pour moi, merci de l'avoir si bien compris et de vous être ainsi associé à ma douleur. Vous savez combien je suis toujours, votre bien affectionné, Amélie.» - Lisbonne, 19 avril 97 : «Vous pensez avec quel intérêt anxieux je suis les affaires d'Orient et je pense comme vous au sujet de l'attitude du parti monarchique. Tenez-moi un peu au courant de ce qui se passe et se dit, et croyez toujours à ma vraie affection et amitié, Amélie. - Lisbonne, 14 mai 1897 : «Oui la main de Dieu s'est lourdement appesantie sur nous, et nous ne pouvons que courber la tête demandant la force et le courage. Merci d'avoir compris tout mon chagrin et de vous y associer avec tant de cœur.» - Cascais, 27 septembre 97 : «Merci d'avoir pensé à moi dans ma chère église d'Eu. Je ne puis penser à tous ces chers endroits que je ne reverrai sans doute plus et si je les revois, jamais sans chagrin, je ne puis y penser sans être émue et triste jusqu'au fond du cœur. Je suis très heureuse des bonnes nouvelles du ?. Ma sœur Isabelle me dit avoir parlé de moi avec vous. J'étais en bonnes mains ! vous avez raison d'être tourmenté, non des agitatio
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